VANCE; kerenza __ along came the black pearl.

BY MISERY ANGEL

VANCE; Kerenza Amelia Jane.

IDENTITY CARD;

nom;

Vance.

prénoms;

Kerenza Amelia Jane.

surnom;

Kenzie.

âge;

Vingt-deux ans.

clan;

My sweet lord.

HORS JEU;

pseudo;

Lexie.

présence sur le forum;

Régulière dès très bientôt, le temps que la routine scolaire s'installe.

où as-tu connu ce forum ?

Par Bazzart.

un avis ?

VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 708610

aurais-tu lu le réglement cher nouveau ?

Spoiler:

BIENVENUE SUR SOHO1970 bonne chance pour ta fiche (en plus, avec la belle evan rachel wood)
:09:

Bienvenue <3
Dis donc, les Sweet Lord ont le vent en poupe ces derniers temps ^^
Bonne chance pour ta fiche =D

Bienvenue à toi Ô magnifique Kerenza, nous n'avons plus de nouvelles, j'espere que tu n'a pas déserté, (j'aime ton avatar <3)

Désolée, beaucoup de devoirs cette semaine...
Mais je vais poster la fichette cette fin de semaine VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 898830

Sinon, merci à vous ! VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 936572

Pas de soucis =)
(Je suis dans le même cas)

Le délai pour faire ta fiche expire demain.
Si tu as besoin de temps supplémentaires, dis-le nous sansquoi ta fiche sera supprimée d'ici peu de temps.

Désolée, j'ai l'impression de continuellement quémander du temps, mais si c'est possible, j'aimerais en avoir encore un peu plus svp, je minimise souvent ma charge de travail à l'école...

Messages : 21 Date d'inscription : 12/09/2009 Citation : .

Il faut que tu puisses terminer cette présentation. VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 400226

Moi tout pareil, après tout on à tous une vie VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 13341

Oh merci à vous tous ! VANCE; kerenza __ along came the black pearl. 88936

LIFE IN LONDON;

PROLOGUE

Citation :: Il vous est si facile de ne pas m'aimer. Je suis celle que vous voudrez être, celle que vous voulez connaître, mais celle que vous méprisez, celle que vous souhaiteriez voir la vie détruite, ne serait-ce que pour espérer ramasser les morceaux qui traîneraient, prendre pour votre seule personne un peu de mon bonheur et de mes avoirs. Je vous laisse dans votre contemplation et votre envie; pour tout dire, vous me faites pitié. Il est si facile de croire uniquement les apparences, franchement, vos préjugés me donnent le goût de vomir. Êtes-vous donc si aveugles ? Croyez-vous vraiment que je suis aussi simple et fade que l'archétype de la jeune femme qui a absolument tout et qui en profite ? Ma vie a commencé de la façon la plus pathétique qui soit, et mes vingt-deux petites années de vie n'ont été qu'une constante lutte pour mettre un peu de sens et de pétillant dans ce monde auquel j'étais déstinée : triste, vide.

CHAPITRE UN; il n'était pas une fois.

Il s’agissait bien évidemment d’une journée terriblement glaciale. La matinée entière avait été ponctuée d’une douce cacophonie, où l’on percevait les plaintes des plus frileux et les cris douloureux de Sofia Vance, née Montgomerry. La jeune femme, à peine âgée de vingt ans était étendue sur le dos et tenait à deux mains son ventre bien peu généreux pour celui d’une femme enceinte depuis neuf mois. Sofia avait toujours été particulièrement belle, et sa taille de guêpe n’avait été nullement affectée par sa grossesse. Tandis que les plus chanceuses se retrouvaient avec de bonnes joues et des bras forts, la jeune femme n’avait qu’un petit melon au niveau du ventre, aucune autre prise de poids de toute forme. L’enfant à naître donnait à ses prunelles azurées un éclat indescriptible, uniquement comparable à son teint de pêche rayonnant. Même complètement paralysée par les terribles contractions qui survenaient maintenant à intervalles très rapprochés, la jeune demoiselle était particulièrement magnifique; tous les amis de la famille souhaitaient à l’enfant à naître la beauté de sa mère. De son père, il pourrait hériter de l’intelligence, quoi que les deux parents aient leur lot de culture et de logique. Tous deux comptables, ils s’étaient rencontrés lors d’une convention valorisant ce métier, et les étincelles qui avaient accompagnées le premier regard que Thomas porta sur la jeune femme se transformèrent bien vite en amour éternel, tandis que les deux jeunes gens se mariaient devant leur famille respective. C’est dans un charmant foyer et dans l’amour inconditionnel de ses deux parents que Kerenza Amelia Jane Vance poussa son premier cri, après que sa chère mère ait travaillé pendant près de six heures.

CHAPITRE DEUX; quatre ans et plus rien à désirer... sauf tout.

« Papa, papa, je voulais simplement savoir si tu… » « Pas maintenant Kenzie, je dois finir ça. » La jeune femme se figea dans le cadre de porte, impressionnée par le ton fort et autoritaire de son père. « Mais…? » Poussant un soupir, Thomas jeta un regard sur sa fille, un regard qui lui enleva tout goût de répliquer, et qui la fit regarder piteusement le bout de ses chaussures vernis, ne sachant soudainement plus où se mettre. Sa mère était une fois de plus absente, elle était sans aucun doute allée se faire coiffer ou une autre ânerie du genre et elle n’avait pas encore d’amis à retrouver pour jouer. D’ordinaire, Kerenza se contentait d’être dans les jambes de tout le monde à l’aide du monticule de jouets qu’elle possédait, mais aujourd’hui, le cœur n’y était pas. Elle souhaitait simplement un petit moment tranquille avec son cher papa, qu’elle n’avait pas vu depuis près de deux semaines. « Ne soit pas imbécile Kerenza et arrête avec tes airs de chien battu. Tu as des milliards de jeux dans ta chambre, pourquoi tiens-tu absolument à venir me déranger dans mon travail ? » Souhaitant à tout prix ne pas être affectée par les propos de son père, la petite demoiselle ne réussit néanmoins pas à cacher son chagrin, et une larme coula le long de sa joue, tandis qu’elle s’assurait de garder les yeux baissés afin que son paternel ne l’aperçoive pas.

bienvenue

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