Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ?

Prudence Millicient WIMBLEDON;

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Ahsley36

And when the night is cloudy
There is still a light that shines on me
The Beatles - Let It Be

Identity Card;

nom;

Je me dénomme Wimbledon. Par pitié épargnez moi vos blagues vaseuses sur le tennis ; j'en ai assez soupé durant mon enfance. Et oui, n'allez pas croire que sous prétexte que votre compte épargne dépasse les six zéros, on est plus gentil ou encore plus tolérant avec vous ; bien au contraire ! Le monde d'où je viens est un univers de requins, tous plus hypocrites les uns que les autres. Il ne faut surtout pas se fier à leurs sourires enjôleurs, ces jeunes gens pourraient ruiner votre carrière en deux temps trois mouvements. Pour quel pretexte ? Sombre idiot, vous croyez qu'ils ont besoin d'une raison particulière pour agir ?! Nous ne sommes à leurs yeux que des pions savamment placés en des points stratégiques. Bref, là n'est pas le sujet. Je parle, je parle et j'en oublie l'essentiel. Comme je vous le disais donc, mon père m'a donné en héritage le doux nom de Wimbledon. Et quel nom ! Grâce à ce dernier j'ai un accès privillégier à je ne sais combien d'enseignes, pour la bonne et simple raison qu'elles appartiennent à mon père. Golden Boy (ou plus communément appeler trader), il a pendant longtemps miser sur le pétrole lorsqu'il était encore en plein essort. Puis, il multiplia sa marge de manoeuvre et commenca à investir dans l'hôtellerie et plus particulièrement l'hôtellerie de luxe. C'est ainsi qu'il est devenue le riche propriétaire d'une des plus grandes ligne d'hôtel dans le monde. Ma mère quand à elle, s'occupe de la comptabilité et passe le plus clair de son temps à gaspiller l'argent de père en pariant sur des courses de lévriers. Un passe temps tout à fait honorable selon ses dires... Mon frère n'ira pas la contredire, puisqu'il est le premier à la faire tremper dans toutes ces magouilles. Vous l'aurez compris, à la maison on ne peut pas réellement parler d'entente cordiale.

prénom(s);

N'arrivant pas à s'accorder sur mon prénom, mes parents m'ont doté de deux ~~merveilleux~~ prénoms soit Prudence & Millicient. Ma mère a cependant réussi à obtenir gain de cause et faire de Prudence mon prénom usuel. Je ne lui en tiens pas rigueur, bien au contraire. Millicient est déjà assez difficile à porter en deuxième nom alors s'il avait fallu que je m'appelle comme ça... Milli ceci, Milli cela ; tu parles d'un tableau ! Puis Prudence, ca a un petit côté rétro qui n'est pas pour me déplaire. Oui, j'ai bien dit rétro. Ma foie, une leçon d'étymologie s'impose. Prudence tire son origine du latin "prudentia" qui signifie sage, réfléchie. Ce qui parrait de mauvais gout en vue de mon histoire... Cependant si j'aime ce prénom, ce n'est pas temps pour ses origines ou encore pour sa signification mais plutôt pour sa consonance. Lorsqu'on dit Prudence, on s'attend à voir une jeune fille vertueuse et à ce moment là, j'ai envie de dire attention car comme le dirait si bien le proverbe : « La prudence est mère de tous les vices ».

surnom;

Les gens se plaisent à m'appeler Wimbledon et ce depuis le jardin d'enfance. Je crois que tout à commencé à cause d'un crayon qui a mysterieusement attérit dans la figure de ce cher Jewell Seymour. « Wimbledon au coin » criait la maitresse, alors que cette mauviette de Seymour me pointait de son doigt accusateur, les yeux gonflés par les larmes. Mon frère se gaussait, à coup sûr, c'est lui qui avait fait le coup. C'est alors qu'il se leva et se dirigea vers le coin, me devançant. Dans mon fort interieur, je criais justice. Il allait se dénoncer et endosser la responsabilités de ses actes. Même pas ! Dans un coup de théâtre spectaculaire, il pria la maîtresse de le punir à ma place. Comme vous vous en doutez il fut tout de suite applaudi pour tant de bonté d'âme et je due au final aller au coin. Quel petite peste, celui là. Si ce n'était pas mon jumeau, ça ferait longtemps que je lui aurais fait manger ses crayons de couleurs à celui-là. Vous comprendrez donc que j'apprécie moyennement qu'on m'appelle par mon nom. C'est pourquoi mes amis m'appellent Prue. Ce n'est pas très original mais ça me convient parfaitement, surtout quand on sait de quel surnom grotesque mon frère m'a affublé. Croyez le ou non, mais il m'appelle Pee. Pour ceux d'entre vous qui ne parlent pas un traître mot d'anglais, Pee veut dire pipi. Je vous laisse imaginer la suite...

age;

Née le 06 décembre 1949 à Londres, je vais sur ma vingt et unième année.

clan;

Vu mon statut sociale, je devrais en principe faire partie des Sweet Lords, cependant comme on a toujours le choix dans la vie et que je n'ai pas échappé à la règle, je me suis rapprochée d'un courant qui me ressemblait plus soit le rock. Je suis donc une Voodoo Children, let It be...

Hors Jeu;

pseudo;Un mot, cinq lettres, dix doigts, dix-neuf bougies, trentes-deux dents et cent pour cent de folie. J'ai nommé the Worst, Amely.

présence sur le forum; Une vraie pompe à essence ; vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, trois-cent-soixante-cinq jour par an (oui, les années bisextiles je m'accorde un jour de RTT afin de me ravitailler).

où as tu connus ce forum? ; Grâce à la plus sexy, la plus esquise j'ai nommé Mary Poppins. Enfin, c'est surtout grâce à ta pub sur BCU. Lorsque j'ai vu que tu avais un forum, je me suis dit chouette. Et quand je vois que toute la dream team est quasi réuni je me dis hourraa !!! J'ai vraiment hâte de terminer cette fiche et de pouvoir rp avec vous mes sucres d'orges. Au passage, félicitation pour le design et surtout le contexte qui est tout à fait original !!! Vous n'aime..

un avis? ;Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette (quoi que... :43:

) , Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie...

aurais-tu lu le réglement cher nouveau? ; Bien sûr, même que j'en ai pas loupé une miette. Soo' Godd job ; WHA. Toutoutoutou....

Life in London;

CHAPITRE PREMIER

« La famille, impossible de vivre avec et impossible de naître sans »

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Img-110548oxp66

Faire son introspection est une entreprise délicate, surtout lorsqu'on a tout juste vingt ans. Pas assez de recul sur son adolescence, trop sur son enfance ; on ne peut donc pas être réellement objectif. J'essayerai cependant de vous narrer mon histoire avec le plus de vraisemblance possible à l'instar d'un journaliste. C'est là que cela se gatte, j'ai en grippe ce corps de métier. Des pourris, oui vous m'avez bien entendu. Ils n'hésitent pas à vendre leurs âmes au diable et salir leur métier pour une poignée de dollars. Enfin, vous comprendrez bien assez tôt la raison de tant d'animosité. Mon histoire commence en une froide nuit de décembre, plus précisément le jour de la saint Nicolas de l'année mille neuf-cent-quarante-neuf. Alors que ma mère, Elisabeth Wimbledon, assise dans son rockincher attendait patiemment le retour de mon père. Celle-ci eut des contractions. Notez bien qu’il ne s'agit là pas des petites contractions que l'on peut avoir au bout du huitième mois parce que le bébé à décider de danser la rumba. Non, plutôt des contractions post accouchement. Vous savez celles qui vous font souffrir le martyr si bien que vous avez l'impression que vos yeux sortent de leurs orbites. C'est ainsi qu'elle s'écroula de tout son long, enroulant de ses bras sinueux son ventre afin de protéger le bébé. D'après la forme de son ventre, Mrs Wimbledon était à peu près certaine qu'il s'agirait d'un petit garçon. En effet, sa mère lui aurait confié que si elle portait le bébé bas, ce serait un petit Walter (le nom de mon père). Elle était à cet instant précis loin de s'attendre à ce qu'il y en ait deux pour le prix d'un. Cependant, étant une femme prévoyante et riche Elisabeth acheta en double ses layettes afin de ne pas se retrouver en rade de vêtement au cas où le bébé tant attendu s'avérerait être en réalité une petite fille. Elle savait d'expérience qu'il ne faisait pas bon croire tout que pouvait raconter sa mère, surtout midi passé. Cette dernière avait tendance à abuser du scotch, un fâcheux qui causa sa perte dans les années cinquante lors d'un tragique accident de voiture. Quoi qu'il en soit, reprenons l'histoire où je l'avais laissé soit ma mère agonisant sur le parquet du salon. Enfin j'extrapole, elle n'agonisait pas réellement. Elle n'avait en effet aucune complication, si ce n'est qu'on arrivait un peu plus tôt que prévu. Mon père au contraire brillait par son absence. Certainement retenu au bureau pour je ne sais quelle affaire. Une pointe d'amertume dites-vous ?! Et encore, c'est un euphémisme.

Gisant sur notre beau parquet Louis XV, ma mère, dans un élan de courage put attraper la petite clochette sur la commode et de fait appeler la bonne. Le carillonnement de la clochette était tel qu'elle se protégea les oreilles de peur que celles-ci implosent à leur tour. C'est alors que Wendy arriva en chemise de nuit, la gorge nouée. Elle savait pertinemment que si mère la sommait de venir au beau milieu de la nuit c'est qu'il y avait un problème. Ce n'est que lorsqu'elle vit le liquide gluant s'échapper d'entre les jambes de mère qu'elle comprit. Son premier réflexe fut donc d'essuyer les tâches de peur de ne pas arriver à les ravoir une fois l'accouchement accompli. Réflexe idiot, réflexe de bonne. Si mon père arrêtait aussi de l'enguirlander pour un oui ou pour un non, elle n'agirait pas de la sorte. Alors qu'elle s'afférait à nettoyer la tâche, ma mère l'attrapa par le col et cria si fort qu'un voisin rappliqua dans la foulée. Fort bien, ils ne seraient pas trop de deux. Wendy s'empressa donc d'aller ouvrir. Il s'agissait du Docteur Jenkins ; il avait établi son cabinet en face de notre hôtel particulier trois ans auparavant et avait acheté par la même occasion la propriété contiguë à la notre. Ce dernier ne prit même pas la peine d’échanger quelques politesses avec la bonne pour en venir droit au but en demandant d’où venait tout ce tohubohu. C’est alors que Wendy s'empressa de raconter toute l'histoire ; soit Madame qui l'appelle au beau milieu de la nuit, Monsieur qui n'est pas rentré, sans oublié cet étrange liquide qui ne cesse de s'écouler. C'est alors qu'il bouscula un peu notre chère Wendy, lui demandant pourquoi elle n'était pas venue à sa rencontre plus tôt. Sans plus tarder cette dernière se mit à pleurer ayant pour seule excuse le fait qu'elle n'osait pas déranger un notable un jour de fête. Ce n'est donc qu'après deux-trois recommandations de ce bon docteur qu'elle disparue à l'étage afin de lui apporter une bassine, des compresses et un couteau brulé au fer chaud afin de stériliser l'engin. Mais le temps qu'elle redescende, Edward avait déjà pointé le bout de son nez. Un petit homme de trois kilos et je ne sais plus combien de grammes, mais au fond est-ce bien important ? Après tout, il s'agit de mon frère... Ma mère semblait tout à fait comblée. Le docteur sans demander son reste, coupa le cordon ombilical à l'aide d'un coupe-papier qui trainait dans le coin. Pas très orthodoxe, mais on fait avec les moyens du bord. Il noua ensuite celui-ci comme il était d'usage lors d'une naissance, avant de le déposer sur ma mère. A peine l'avait-il mis sur sa poitrine qu'elle se cambra de nouveau. Si vous voulez mon avis, c'est très certainement car elle ne le sentait pas et ce, dans tous les sens du terme. C'est alors qu'elle reprit le travail sans vraiment comprendre ce qui se passait. Au même moment, mon père fit irruption dans la pièce s'écriant « Mon fils ! » à la vue du bébé que langeait la bonne, sans trop se soucier de ce qui arrivait à sa femme. Ce ne fut que lorsque je poussais mon premier cris, que mon père eut de la considération pour moi. Autant, vous dire que nos rapports par la suite furent à l'instar de ce moment ; conflictuel.

« Quelle est l'origine de tout ce raffut ? »

Il se tourna d'emblé vers la petite masse sanguinolente qui gisait sur la poitrine de mère, autrement dit moi. Certes, je n'étais pas à mon avantage... Moitié moins grosse que mon glouton de frère, mon crâne avait été légèrement déformé lors de l'accouchement. Ce n'est qu'après avoir vu la moue empreint de dégout de mon père, que ce bon docteur s'empressa de le rassurer.

« Ne vous en faite pas Mr. Wimbledon, votre petite fille est en excellente santé. Elle a souffert de l'accouchement ; mais son crâne devrait reprendre sa forme initiale sous quelques jours. Vous savez, son petit corps n'est pas encore tout à fait formé. Il faut dire qu'ils arrivent plus tôt que prévu... Bon, nous ferions mieux de laisser votre dame se reposer. Wendy ?! »

« Oui docteur ? »

« Occupez-vous des petits et veillez à ce que Mrs. Wimbledon ne manque de rien. A l'adresse de mon père. En tout cas, toutes mes félicitations Walter ! Des jumeaux de surcroit. Comment les appellerez-vous ? »

« Nous l'appellerons Edward. »

Quand à moi, il leur fallu deux bonnes semaines avant de me baptiser Prudence. Ainsi, en attendant mère et père m’appelait le bébé ; comme si je n'étais pas de la famille, comme si je n'avais pas ma place en ces lieux... J'ai donc dès la naissance été conditionnée pour me sentir de trop dans cet univers.

CHAPITRE SECOND

« L'enfance sait ce qu'elle veut, elle veut sortir de l'enfance »

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Img-110514fec5c

De mon enfance, je n’en garde que des séquelles qui ont plus ou moins cicatrisées avec l’âge. Mais comme on le dit si bien à chaque période son démon. Le mien s’appelait Edward. Une main de fer dans un gant de velours, une gueule d’ange doublé d’un vrai petit diable. Il n’en loupait pas une ; surtout lorsqu’il s’agissait de me faire du tord… A n’y rien comprendre ! Comment deux jumeaux pouvaient-ils être si opposé ?! A croire que cette histoire de placenta y est pour quelque chose. Quoi qu'il en soit, du haut de ses dix ans il me rendait déjà la vie impossible. J’allais d’humiliation en humiliation. J’étais la risée de l’école et les rares camarades qui m’adressaient la parole le faisaient par profit. Une équation un peu trop compliqué, une composition à rendre pour le lendemain et pouf ; je devenais la fille la plus côté de la cour d’école. L’un de mes pires souvenirs est sans nul doute le jour où je retrouvais affiché un peu partout dans l’école les pages de mon journal intime. Alors que je me rendais bon grès mal grès à l’école. Notez qu’il s’agit d’une école de fils à papa, où la plupart des élèves gagnent l’équivalent d’un salaire en argent de poche, cadeaux etc. J’aperçu tout un troupeau au loin fourmillant vers le panneau d’affichage. Mon premier reflexe fut de m’en approcher afin de voir quels nouveaux babillards pouvaient provoquer tant d’hilarité auprès de mes petits camarades, quand soudain je reconnu une citation issue de mon journal. Je l’avais écrit l’avant-veille ; elle était destinée à Nathaniel. Je les entends encore crier à tue tête « Pipi est amoureuse !!! ». Ce que l'on peut être bête lorsqu'on est en primaire ; bête et méchant. C'est alors que mon frère fit son apparition tel un prince arrpentant le petit muret de la cour de récréation. Tout le monde n'avait d'yeux que pour lui et lui seul. Il aurait pü tous les ridiculiser un à un que cela n'y aurait rien changé. Ma condition à l'école n'était donc pas plus glorieuse qu'une fois rentrée à la maison. Mes parents n'en avaient qu'àprès lui ; et il a fait ceci et il a fait cela... Mon fils par ici, mon fils par là... Je prennais donc l'habitude de me terrer dans ma chambre, mon antre afin d'y déverser tout mon sôul, cette hargne qui m'étouffait.

CHAPITRE TROISIEME

« But now these days are gone, I'm not so self assured »

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Img-1105372noxi

CHAPITRE QUATRIEME

« Now I find I've changed my mind and opened up the doors »

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Img-110524s6lvt

EPILOGUE

« Help me if you can, I'm feeling down »

Ne dit-on pas que la prudence est mère de tous les vices ? Img-110613zdzto

(c) Toutes les signatures sont de Misery Angel.

Han je me disais, on a choppé une merveille avec cette Milicent. Et en voyant ton pseudo, j'ai compris !
AMELY (L) La meilleure RPGiste de tous les emps, qui cite jeux d'Enfatns pour parler de Soho ! Que du bonheur =D
BIENVENUE !!! :15:

Jeux d'Enfants

Et comment, t'avoir ici est un immense bonheur pour moi ! (L)

Han tu espionnes mes RPS ? :55:

En tout cas, ca me fait plaisir que tu les trouves bien, c'est un immense honneur :33:

Sauf que moi c'est 100% sincère, Madame !

Non mais alors là je te rassures, t'es pas obligé de faire aussi long xD Déjà ma présentation s'appuie sur des personnages déjà existants et en plus, j'ai eu du temps pour la faire; Si tu nous remplis déjà trois posts, nous serons infiniment impressionés ! :11:

Je viens de vérifier et je les faites en 16 jours. Honte à moi, je n'aurais pas du dépassé le délai imposé >< Remarque, si vous demandez, on vous offre du rab, on est pas des tyrans (a)

Il n'y a aucun problème pour cela, la partie scénario est faite pour proposer vos propres persos vacants =D
Donc tu pourras très bien les créer tous les trois ^^

Oh, pardonnes-moi, mais j'espère n'avoir jamais à entendre cela xD